L’article que nous avons retenu pour vous aujourd'hui traite des « toxic handlers », ces salariés qui absorbent la souffrance de leurs collègues et qui ont le vent en poupe.
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Lors d'un contexte de crise, les personnalités peuvent être exacerbées, en raison des tensions environnementales. Il peut alors être difficile de collaborer avec ses collègues, chacun ayant ses humeurs et ses limites.
Chaque collaborateur a sa propre expérience professionnelle mais aussi de vie, faisant de lui une personne unique et singulière. Peut-être ne faut-il pas uniquement s'intéresser au parcours professionnel d'un manager, mais aussi à son expérience de vie, qui peut être un élément important dans le profil du poste.
Un manager doit tout d’abord s’appuyer sur les fondamentaux du management. En appliquant les fondamentaux, il saura construire son plan d’action, identifier les indicateurs pertinents à la situation, il pourra bien communiquer pour impliquer les collaborateurs, entre autres. Fort de connaissances essentielles en management, le manager sera en mesure de se positionner, d’adapter son management à l’équipe et plus particulièrement aux situations et aux personnes.
Si le manager a aussi la compétence d'avoir expérimenté la vie, alors pourra-t-il mieux comprendre ses collaborateurs ? Connaissant le chemin de leur état, de leurs émotions, il sera alors à même de les conseiller, de les apaiser, de les comprendre, de les orienter, de les diriger.
Doués d'une empathie et d'une sympathie naturelles, les "toxic handlers" ont une bonne écoute. Attention cependant à l'accumulation et à la charge trop lourde qu'ils supportent, qui peuvent conduire au burn-out, et ainsi donc rendre toute capacité professionnelle anéantie.
Le point fort de ces managers est tout de même d'agir en suivant des fondamentaux et des valeurs qui leur font sens. Quel meilleur manager que celui qui donne le sens et du sens aux actions menées ?
Bonne lecture à tous
Isabelle Ladjadj et l'équipe Manegere