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Enfants ou adultes : qu’est-ce qui peut bien nous « faire courir aussi durablement » ?

 Pour qui veut bien se questionner sur la nature de son énergie et plus généralement sur les sources dans lesquelles chacun vient probablement puiser pour compenser, recommencer ou performer durablement  

Manegere vous invite déjà à (re)découvrir cette étude de l’Université Clermont Auvergne, laquelle donnait des premières clés aux parents qui, comme c’est sans doute votre cas, se demandent parfois comment leurs enfants s’y prennent pour sembler parfaitement inépuisables ?  

Ainsi, lors d’un effort intense effectué à vélo et en comparant chez des adultes puis chez des enfants leur « fatigabilité », de même que leur « faculté de récupération », l’étude fait émerger plusieurs avancées

- la plupart des enfants performeraient davantage que les adultes,

- ils se fatigueraient moins et récupéreraient plus vite de leurs efforts,

- ils rivaliseraient même avec les performances réalisées par certains athlètes.

Les explications évoquées et les conclusions tirées par la science démontrent qu’entre les adultes et les enfants

- les muscles diffèrent dans leur composition et propriétés,

- également la nature même de l’énergie déployée lors de l’effort est différente (aérobie plutôt qu’anaérobie)  

Donc, bien évidemment Manegere ne peut que vous inviter à tirer toute la substantifique « moelle » de la (re)lecture car cela vous en dira très long sur le potentiel de performance « énergique » de vos enfants, considéré ici dans sa dimension « physiologique » et « musculaire »

Après, ou plutôt, pour continuer à filer la métaphore athlétique, « dans la « foulée » », nous vous recommandons aussi de prolonger votre salutaire questionnement parental autour d’autres liens de causalité possibles entre « endurance », « énergie », « récupération » et …« performance » ?  

Pourquoi ? Peut-être tout simplement car, parents ou enfants, sculpturaux ou rachitiques, nous pouvons également constater que, soumis à un même effort intense, bref à un stimuli identique, nous ne « semblons » pas ni « réagir » de la même façon ni même devoir dépenser le même niveau d’énergie pour réussir la même action ou obtenir le même résultat.  

A telle enseigne que, dans un cadre sportif, éducatif, voire même professionnel, là où pour une même tâche certains s’arrêteront ou s’épuiseront rapidement, pour ne pas dire dès les premiers efforts,  ….d’autres sembleront absolument inarrêtables dans leur capacité à persister, renouveler ou endurer.  

Mieux, certains mettront peut-être des semaines pour s’en remettre, quand les autres, échec ou réussite, résultat ou pas, ne sembleront nullement « marqués » par cet effort, qu’ils auront déjà oublié, capitalisé ou compensé.  

 

Autant d’indices qu’il est peut-être aussi intéressant de considérer d’autres dimensions « parentales » passionnantes pour appréhender la relation entre « énergie », « effort » et « performance ». 

Lesquelles ? Par exemple l’impact du « Mental » sur la « motivation » de nos enfants et donc sur leur « niveau d’énergie » et d’« endurance » pour aller d’un point « A » à un point « B » ?

  Pourquoi ne pas aussi creuser le lien entre « la gestion de leurs « émotions », « le plaisir intrinsèque qu’ils trouveront dans l’action » et donc leur capacité à « persévérer » vers « leur » réussite : ceci en dépit des échecs, challenges ou frustrations qu’ils rencontreront probablement sur le chemin ?  

Ou encore, pourquoi ne pas considérer le type de « compensation qu’ils rechercheront pour l’énergie qu’ils déploieront à endurer » : autrement dit, ce niveau de « reconnaissance » et de « valorisation » compensé à la fois dans leur propre regard, mais aussi notamment dans celui de leurs parents, certes davantage extrinsèque celui-là, mais dans lesquels se construira aussi, pour partie, leur motivation à durer.  

Bref, la liste est longue, et évidemment non exhaustive, et il s’agira dans reparler ensemble une autre fois.

En attendant, à nouveau bonne lecture à tous et « enfant ou adulte », intégrons aussi le muscle « motivationnel » dans la compréhension de notre « potentiel énergétique » ?

Bonne lecture !

Stéphane FLAHAUT pour l’équipe MANEGERE ASSOCIÉS

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Management tenir compte de l’intelligence émotionnelle

A 8 semaines de la fin d’année, il est temps pour toute personne, notamment celles en situation de management, de réaliser un bilan, plus personnel que le sacro-saint bilan des résultats annuels. Il s’agit de se demander quel travail j’ai réussi à faire sur moi-même sur l’année écoulée. Si vous n’y avez pas pensé, cet article, qui rappelle l’importance du travail sur soi, sera un bon catalyseur.

Pour bien manager, il faut connaitre les mécanismes de la motivation, les fondamentaux du management, et bien sûr savoir utiliser quelques basiques générateurs de succès. Pour autant, on peut apprendre et connaitre ces savoirs, et par la pratique maîtriser les basiques, il reste un sujet de fond : « sa capacité d’identifier ses émotions, de les comprendre, de les contrôler et de les ajuster en fonction des circonstances. ». Ce travail sur soi, fait la différence entre les bons managers et les très bons managers : ceux qu’on peut identifier comme des leaders.

Car tout bon manager, sait qu’il doit développer en permanence ses capacités comme par exemple la capacité d’écoute : pour autant, qu’est ce qui dans certaines situations, l’empêche d’écouter ? Certainement sa capacité à maîtriser ses émotions et à les ajuster en fonction des circonstances : en d’autres termes, l’intelligence émotionnelle ou toutes les autres formes d’intelligence que le QI a écrasé depuis des décennies. Certains l’utilisent intuitivement sont des leaders nés, alors que d’autres l’acquièrent par un travail permanent sur eux-mêmes.  

Après avoir lu cet article, vous risquez d’être convaincu, si ce n’est pas déjà le cas, de la nécessité de développer votre QE en tant que manager, de vous fixer un objectif en ce sens pour l’année prochaine, de réaliser d’abord un travail sur vous, et pas seulement sur votre structure ou sur les autres…

Un très bon manager, voire un leader, commence d’abord à travailler sur lui !

Un premier pas possible : identifier, comme le recommande cet article, une force et une faiblesse émotionnelle.

Bonne lecture.  

Saïd AGBANRIN pour l’équipe MANEGERE ASSOCIÉS

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