Article très intéressant que celui-ci sur le bore-out, phénomène aujourd’hui bien moins connu que le désormais célèbre « burn-out ». Il semble pourtant que ce syndrome soit plus répandu que son célèbre opposé car 1 personne sur 3 en souffrance au travail évoque le bore-out.
Comment expliquer alors cette moindre visibilité ?
Elle est certainement due à une moindre communication chez les personnes atteintes, probablement liée à l’image sociale dégagée. Et c’est là tout l’intérêt que nous trouvons à cet article qui va au-delà même du bore-out. Le « politiquement correct », qui pousse certains individus à se plaindre ou pas de certaines situations en fonction de leur environnement sur ces sujets. (suite…)
Mal du 21ème siècle pour certains, simple phénomène de mode pour d’autres, le burn out se répand comme une traînée de poudre dans de nombreuses entreprises. Mais pourquoi certains collaborateurs en arrivent là, et comment l’éviter? Eléments de réponse.
Difficile d’y échapper. Le burn out, la maladie des premiers de la classe, des perfectionnistes, des plus motivés, ceux qui ont du mal à sentir leurs propres limites et à déléguer, revient dans de nombreuses conversations. Pour enflammer les autres, les victimes se consument elles-mêmes. L’idée répandue aujourd’hui, c’est que ceux qui y arrivent ne sont pas les plus forts ou les plus intelligents, mais les plus rapides ; ainsi, 30% des jeunes se disent 100% disponibles pour leur société. (suite…)
Téléphone en voiture, mails dans le métro, rapports dans le train....
10 minutes pour la cuisson des pâtes ?
Parfait, le temps nécessaire pour finaliser le PowerPoint de la réunion de demain !
Le vieil adage « chaque chose en son temps » est maintenant bien loin ! (suite…)
Pas de vacances cet été, les dossiers qui s'empilent, un malaise qui s'accroît... Réagissez avant qu'il ne soit trop tard. Face aux symptômes du stress en entreprise, quelques clés pour comprendre, prévenir et intervenir.
Au total, un salarié européen sur cinq souffrirait de troubles de santé liés au stress au travail. Ses effets grèveraient même 10 à 20% du budget de la branche des maladies professionnelles recensées par la Sécurité sociale.