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Peut-on vraiment dire que les français peinent à accepter l’échec ? Ou plutôt qu’ils ont une gestion trop prudente, ce qui rend difficile la possibilité pour les petites entreprises d'aujourd’hui, de devenir grand demain. |
Nous vous recommandons cet article qui revient sur un sujet maintes fois traité, à savoir l’échec mal vécu en France, alors que dans les autres pays européens, il serait un puissant moteur. Les citations sur ce thème sont légions. Néanmoins, mon préféré est celui de Nelson Mandela : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ». |
Puisque l’échec n’est pas en soit souhaitable, doit-on être triste de n’avoir pas eu sept échecs, pour avoir l’occasion de se relever une 8ème fois ? Est-ce vraiment la peur de l’échec qui rend les entrepreneurs français prudents ou plutôt, le fait de se contenter de ce qu’on a car, une réussite trop flamboyante reste douteuse en France ? |
Je vous invite à vous faire votre opinion en lisant cet article. Bonne lecture ! Les entrepreneurs français peinent à accepter l'échec |
Said AGBANRIN et toute l’équipe
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A l’image de la pyramide de Maslow, il s’agit d’une stratégie par étapes qui, à l’instar de la stratégie classique, nécessite que la situation désirée soit claire et constitue le point de mire permanent.
Cette situation désirée est la phase d’accomplissement dans la pyramide de Maslow, et pour avoir une chance de l’attendre, il faut tout de suite rentrer dans l’action avec la recherche de la satisfaction du besoin physiologique, soit comment se faire de l’argent tout de suite. Il ne s’agit pas de se faire de l’argent pour devenir « riche », mais d’être en capacité de payer les charges de départ, en clair « pouvoir survivre » aux 3ières années d’exercice qui connaissent un taux de mortalité très élevé des entreprises .
En langage d’entrepreneur : quelle est votre « boîte à outils » ? (suite…)
La Sérendipité est la capacité cognitive à trouver, à découvrir (à la suite d’un incident éventuellement malheureux) ce que l’on ne cherchait pas, d’en comprendre l’intérêt et la valeur et de changer illico de stratégie (d’après Wikipedia).
Elle est à l’origine d’un grand nombre de découvertes, comme par exemple la pénicilline, la création de McDonald’s, la conception du F-16, les édulcorants de synthèse (aspartame, saccharose, etc.), le Post It, le Viagra, le madère, le Sauternes, les bêtises de Cambrai, la tarte Tatin, etc.
C’est une certaine ouverture d’esprit, une capacité à sentir les événements avant tout le monde et surtout les monétiser, comme par exemple BlaBlaCar.
Certains voyageurs ont d’abord eu le pouce levé en pratiquant le stop, puis le ont partagé les frais du trajet avec le covoiturage, puis enfin quelqu’un a eu l’idée d’en faire un business et c’est devenu BlaBlaCar.
C’est aussi le cas d’Uber Pop, Air BnB, etc (suite…)
A l’heure où la plupart des jeunes diplômés rêvent de travailler soit dans la fonction publique, soit à la SNCF ou EDF ( selon une étude TNS SOFRES de début 2015 sur les préférences des jeunes diplômés), on peut se demander quelle est la place de la création d’entreprise en 2015.
En données brutes, le nombre cumulé de créations diminue au cours des 12 derniers mois (-0,4 %).
En avril 2015, en données brutes, 49,2 % des créations enregistrées sur les 12 derniers mois sont des demandes d’immatriculation de micro-entrepreneurs.
C’est vrai que le contexte économique n’est pas rassurant, mais a-t-il été un jour rassurant pour ceux qui n’ont pas connu les 30 glorieuses ?
Les jeunes diplômés cherchent la sécurité en ciblant ces grosses structures, persuadés qu’en leur sein, ils seront à l’abri du licenciement pour les plus pessimistes et auront plus de possibilité de promotions pour les plus optimistes. (suite…)