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Certaines entreprises attachent énormément d'importance à la place occupée par leurs salariés.

Certaines entreprises attachent énormément d'importance à la place occupée par leurs salariés.                                            Crédits photo : Ryan McVay/Getty Images

Devrait-on installer les employés par affinités davantage que par secteur professionnel ou service ? Aux États-Unis certaines entreprises «placent» les salariés afin d'optimiser la productivité et l'ambiance entre collègues.

La répartition bien stricte par «secteurs» ou par «services» serait-elle vieux jeu? Serait-il tout aussi obsolète d'avoir un bureau et une place géographique stable dans son entreprise? C'est l'avis de certaines entreprises américaines, qui ont décidé d'organiser une déclinaison corporate des «chaises musicales» dans leurs bureaux. Les voisins de bureaux sont effectivement les collègues avec qui vous aurez le plus d'échanges pendant une journée de travail: 40 à 60% de vos échanges quotidiens, selon Ben Waber, patron de solutions sociométriques, une société basée à Boston qui utilise des capteurs afin d'analyser les modes de communication au travail. En revanche, échanger avec les personnes d'un autre open-space ou d'un autre étage est plus compliqué: seulement 5 à 10% de vos intéractions chaque jour. «Vous n'êtes susceptibles de parler à ces personnes que dans un contexte de réunion» explique Ben Waber au Wall Street Journal. (suite…)

Manager individus

 

L'euphorie et l'exaltation de lune de miel ont une durée de vie souvent limitée…que ce soit dans les relations personnelles ou professionnelles, chacun d’entre nous perçoit à un moment ou à un autre des frustrations, liées à un sentiment d’injustice, d’impuissance, de délaissement ou encore à un manque de perspectives d’avenir.

Dans des temps anciens, un médecin chinois demande une audience à l’empereur ; ce dernier, en bonne santé, refuse de le voir à plusieurs reprises; arrive un jour où il tombe malade et envoie son émissaire quérir ce médecin, qui lui rétorque que c’est maintenant trop tard et qu’il ne viendra pas…c’est là toute la différence entre la médecine allopathique et la médecine traditionnelle chinoise : d’un côté, nous traitons les conséquences, et de l’autre les causes.

Les frustrations et leurs causes

L’art du manager dans un environnement compétitif, typiquement dans une phase d’hyper concurrence, est avant tout de détecter les situations amenant une démotivation ; et elles sont potentiellement nombreuses : (suite…)

Tsunami de données

Comme chacun d'entre nous, les entreprises sont submergées par des masses toujours plus considérables d'informations. Certaines ont su transformer ce problème de plus en plus insoluble en avantage concurrentiel.

La quantité de données que doivent traiter les entreprises double tous les quinze mois. Cela va des courriels au suivi informatique des colis en temps réel en passant par les commentaires dans les réseaux sociaux et les multiples liens avec les sites des fournisseurs et des clients, sans oublier la veille technologique et stratégique sur le Net. Cette inflation constitue « un casse-tête pour les individus et un énorme défi pour les entreprises ». Il faut dire que le temps nécessaire pour prendre connaissance de l'information finit par devenir un bien plus rare que l'information elle-même. Mais la quantité de données constitue une belle opportunité pour ceux qui parviendront à en maîtriser le flot ininterrompu et toujours croissant. Cette hypothèse est confirmée par une étude récente qui montre qu'en s'appuyant sur l'analyse de données plus que sur l'expérience et l'intuition des dirigeants, une entreprise peut accroître sa rentabilité de 5 % à 6 % .C'est le retour en grâce de l'analyse, la fin du règne de l'intuition portée au pinacle par Kenichi Ohmae au début des années 1990. Le consultant nippon avait alors tourné le dos à la planification et aux matrices d'analyse stratégique du Boston Consulting Group et d'Arthur D. Little, expliquant que la stratégie était un art basé sur l'intuition et la volonté de réussir, un cheminement intellectuel créatif plus que rationnel. Pour lui, les stratèges ne se servaient des analyses « que pour stimuler le processus créatif, pour tester les idées qui émergent, pour élaborer leurs stratégies »

La réhabilitation de l'analyse rigoureuse

Les auteurs de l'étude réhabilitent l'analyse, et mettent en évidence l'efficacité de la « 3D »,  Data Driven Decisionmaking (la prise de décision basée sur les données). On quitte l'art du dirigeant visionnaire pour retrouver la lecture assidue de documents, les tableaux Excel, les logiciels de traitement de données et la rédaction de notes ultrasynthétiques.

Cette approche demande une bonne dose d'organisation : dans l'entreprise moyenne, pas encore championne de 3D, un employé consacre au moins 5 heures par semaine à chercher des informations. Même si l'effet d'apprentissage peut éviter que le temps passé croisse au même rythme que la quantité de données traitées, il est difficile de poursuivre dans cette voie.

Des start-up ont depuis longtemps compris qu'il y avait là un marché colossal. L'une des plus anciennes sur ce créneau, Sinequa, créée et dirigée par des ingénieurs français, propose un moteur de recherche sémantique permettant de trouver n'importe quelle information dans la masse de données existant à l'intérieur de l'entreprise, en minimisant le « bruit » (toutes les informations non pertinentes qui parasitent les résultats), et le « silence » (les lacunes, les informations pertinentes non repérées). Soulignons au passage que ce type de moteur est plus sophistiqué que celui de Google, d'autant que Sinequa travaille dans toutes les langues utilisées dans l'entreprise, et qu'elle gère la confidentialité : chaque information est mise à la disposition des seuls utilisateurs habilités à la consulter.

Chasseur de données, un métier d'avenir

Un autre métier nouveau est celui des « agrégateurs », dont le travail est moins complexe. Leur terrain de chasse est constitué par des milliers de médias et de bases de données existant sur Internet, auxquels ils accèdent méthodiquement. Ils réunissent, trient et fournissent un maximum d'informations pertinentes sur les thèmes intéressant leurs clients. Certains de ces agrégateurs sont relativement généralistes, assurant une veille sur l'actualité politique ou économique et sociale. D'autres se spécialisent, par exemple dans les données financières.

Ce type de service n'est pas réservé aux entreprises. Les Google News, Wikio et autres Yahoo News l'offrent au grand public. Et parmi les blogueurs actifs, on trouve des « curateurs » qui regroupent des pages concernant un sujet, les sélectionnent et les livrent à leurs lecteurs. Cette activité peut d'ailleurs être largement automatisée à l'aide d'outils simples : un agrégateur de flux sociaux ou de RSS permet de scanner les nouvelles et avec un outil de publication automatique lié à ses comptes Twitter et FaceBook, on peut facilement diffuser des informations sélectionnées à l'aide de mots-clefs. Ce mode opératoire peut suffire aux internautes qui ne veulent rater aucun écho sur les Jaguar type E ou sur Cat Stevens, mais les entreprises sont plus exigeantes, et pour leur donner satisfaction l'agrégateur doit aussi être capable d'analyser les données. Pour ce métier, des connaissances techniques, mais surtout une grande agilité intellectuelle sont nécessaires, et la demande est supérieure à l'offre. Un récent rapport de McKinsey estimait qu'il manque 140 000 à 190 000 analystes compétents sur le marché du travail américain, et qu'il faudrait former 1,5 million de managers à l'analyse de données, simplement pour leur permettre de prendre de bonnes décisions « guidées par les données », données livrées prêtes à l'emploi par des agrégateurs ou curateurs[5].

Marc Mousli Dossier Web n° 055 -
Extrait de l'excellent blog Alternatives Economiques

solutions 300x225 Apprenez à vos collaborateurs à vous apporter des solutions, pas des problèmesAujourd’hui dans notre économie, vous devez avoir des collaborateurs qui vous apportent des solutions. Toute la question est de savoir comment amener vos collaborateurs, à trouver des solutions plutôt que des problèmes ? Comment orienter l’attention sur la recherche de solutions, au détriment de l’analyse du problème. ? Comment empêcher son équipe de se plaindre de problèmes et de sombrer dans une dynamique négative.

Les meilleures façons d’y arriver et d’employer une technique très simple : lorsqu’ils vous font part d’un problème. Insistez pour qu’ils vous proposent une solution.

Apportez-moi des solutions, pas des problèmes. Margareth Thatcher

Orientation problème ou orientation solutions ?

En tant manager on est souvent assailli de problème de toute part, a longueur de temps par nos collaborateurs. En s’efforçant de résoudre tous les difficultés que rencontre un salarié on l’empêche d’évoluer.

Chaque fois que le manager donne la solution, sans avoir impliqué le salarié concerné dans la résolution du problème, sans s’en rendre compte il détruit toute forme d’esprit d’initiative et de confiance en soi.

Il faut encourager les salariés à résoudre les problèmes plutôt qu’il se contente d’attendre la solution de la part de leur supérieur hiérarchique.

Comment inciter ses collaborateurs à chercher et à trouver des solutions à leurs problèmes ? (suite…)

La lenteur est la meilleure réponse à l'urgence. Un oxymore  qui décoiffe ! C'est pourtant ce que nous enseigne l'une des cinq lois du temps  énoncées par des experts du sujet. Universelles et utiles pour mieux s'organiser  selon Jean-Louis Muller, directeur chez Cegos (1).

Par Marie-Madeleine Sève pour LEntreprise.com

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Gestion du temps
Même si l'instant est critique, l'individu a intérêt à  ralentir afin de reprendre la main et de retrouver du punch. Souffrir l'urgence,  c'est comme souffrir un mal de dents, on n'apprécie plus un sourire. Mieux vaut  se placer dans un espace-temps plus large qui permet de réfléchir et d'analyser.  Ce que savent si bien faire les urgentistes qui modèrent leurs intervention et  gestes pour sauver des vies.La vie, au travail comme à la maison, échappe à la logique mathématique. Mais  il existe des lois empiriques, éprouvée par des scientifiques ou des praticiens  qui devraient aider le manager à mieux gérer son temps, son énergie et son  équipe. Après les  lois exposées dans les saisons 1 et 2, en voici cinq autres dans notre saison 3, inspirées par  des personnalités au parcours vivifiant. (suite…)

Par Tiphaine Thuillier pour LEntreprise.com,

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Ce nouveau site propose aux internautes peu motivés par les tâches du quotidien de trouver de bonnes âmes (rémunérées) pour les réaliser à leur place.

Lancé lundi 13 mai, le site J'ai pas Envie.com permet aux particuliers de déléguer les tâches rébarbatives en les confiant, moyennant finances, à une personne membre de la communauté.
Lancé lundi 13 mai, le site J'ai pas Envie.com permet aux particuliers de déléguer les tâches rébarbatives en les confiant, moyennant finances, à une personne membre de la communauté. (suite…)
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