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LES CHEFS D'ENTREPRISE, CES OUBLIÉS DE LA MÉDECINE DU TRAVAIL

Un article à lire absolument si vous êtes chef d’entreprise ou si vous envisagez de le devenir prochainement. Être chef d’entreprise, c’est entre autres changements ne plus avoir de N+1, ce manager avec ses exigences et demandes potentiellement génératrices de stress : c’est donc devenir son propre manager et supprimer ainsi l’une des principales sources de stress des salariés. En réalité, c’est découvrir d’autres sources de stress dont les conséquences sur la santé peuvent être tout autant dévastatrices qu’un N+1…  

Bien sûr, il ne s’agit pas dans cet article de faire la comparaison entre les souffrances du chef d’entreprise et celles du salarié, mais plutôt d’expliquer les sources du stress du chef d’entreprise et de préconiser quelques solutions, à travers l’évocation d’histoires personnelles.  

Effectivement, quand les médias évoquent les entreprises c’est très souvent celles du CAC 40, oubliant régulièrement les 3,1 millions de TPE et PME, soit 99,8 % du nombre total des entreprises en France.

L’immense majorité d'entre elles (96 %) sont des microentreprises (MIC), c’est à dire des entrepreneurs(ses) isolés(es) face aux multiples enjeux de leur quotidien

Ils vivent donc avec le risque, faute de réussir à surmonter ces différents problèmes, d’être contraint de déposer le bilan : c’est un risque permanent pour tout chef d’entreprise !  

En lisant cet article, je me félicite d’avoir eu l’idée de créer MANEGERE en septembre 2002, de ne pas avoir hésité à rechercher des associés pour contribuer à l’activité quotidienne et être également actionnaires.

Au-delà de l’apport de talents, de la complémentarité des compétences, cela a surtout permis d’éviter l’isolement, principale source de stress pour l’entrepreneur.

En 17 ans, la vie n’a pas été un long fleuve tranquille pour MANEGERE, et la présence d’associés, c’est aussi de bénéficier de

C’est fort de ce vécu et de notre expérience personnelle que nous sommes aussi proches de nos clients, car l’isolement est présent partout en entreprise, bien sûr en priorité pour les patrons de PME.

L’isolement est une source de stress, mais l’autre source de stress c’est l’inconnu, l’absence de visibilités sur plusieurs aspects c’est pour cela que :

Quand nous accompagnons une PME ou une ETI, notre objectif, c’est avant tout les aider à avoir une dorsale robuste.

Une raison d’être précise

Une vision très claire

Des ambitions cohérentes avec la vision

Des axes stratégiques pour réaliser les ambitions

Une fois cette dorsale établie, une partie des incertitudes est levée, le chef d’entreprise a alors tout loisir de piloter au quotidien son entreprise.

Nous sommes aussi là, disponibles pour échanger sur tous les sujets, car nous savons qu’une entreprise ne peut réussir si, son capitaine est épuisé et à la limite du burn-out.

Bonne lecture, que vous soyez ou non chef d’entreprise ! L'article est ici.        

Saïd AGBANRIN et toute l’équipe Manegere Associés

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D’un côté les Français sont investis dans leur travail, et de l’autre ils en souffrent. Pourquoi ?

Francais sont investis dans leur travail et de l’autre ils en souffrent manegere

Un article recommandé par MANEGERE : Aimer son travail et en souffrir : un paradoxe français


Peut-on aimer et détester son travail à la fois ? Comme l'écrit l'auteur, les gens aiment leur travail et paradoxalement, ceux-là même qui aiment leur travail en souffrent.

La ou les raisons à ce paradoxe ? Bien sûr, il peut y avoir des raisons personnelles, comme une santé défaillante, des soucis d’argent…

La pression des déplacements agit également. Que ce soit en voiture ou en transports en commun, ce n’est pas toujours facile selon le lieu de résidence. Et cette période de grèves quasi constantes ne nous ménage pas. Pourtant, on entend souvent des personnes dire que tout va bien au travail mais que ce n’est pas le « top », sans trop savoir pourquoi.

Des « gens » qui n’aiment pas ce qu’ils font, qui n’apprécient pas leur manager ou leurs collègues, qui n’aiment pas leur environnement de travail…

Bref, des raisons liées à des moments que nous vivons mal.

La bonne réaction sera surement de se poser à soi-même la question de ce qui ne plait pas dans le travail, plutôt que de se contenter en se cachant derrière des raisons financières (il fait bien travailler pour vivre !!). Et pourquoi pas, envisager même de changer de travail, trouver le courage de se remettre en cause, de repartir en conquête.

Les relations avec les collègues et/ou le manager sont mauvaises ? Revoyez votre mode de communication, respectez la position et les enjeux de votre manager et vous respecterez les vôtres.

Le bonheur au travail ne dépend pas d’une belle salle de pause, d’un team-building annuel ou d’un salaire ! Il repose plutôt sur des multiples choses quotidiennes, individuelles et collectives.

Patrice MANGEOT et toute l’équipe MANEGERE

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Soyez zen pour mieux réussir

Soyez zen pour mieux réussir

Crédit photo : Pexels

Un article recommandé par MANEGERE : La science l'affirme : pour réussir il faut être zen


Pour voler haut, soyez léger ! Nous vous proposons, aujourd’hui, un article qui établit un lien direct entre le stress et notre statut dans l’entreprise.

Une étude citée par le célèbre magazine Forbes tendrait à montrer que le stress nous pénalise dans notre quête d’évolution au sein de notre entreprise.

Nous pensons qu’il y a un lien entre le statut d’un individu dans une entreprise et son niveau de stress.

Pour rappel, le stress est le décalage que perçoit un individu entre ce qui lui est demandé, et les ressources qu’il a, ou estime avoir, pour y répondre.

Selon nous, le stress vous pénalise dans la capacité à être lucide, à avoir le bon geste, la bonne parole au bon moment, certes, mais aussi à fédérer autour de vos projets, de vos idées (difficile de faire confiance à quelqu’un qui semble mal à l’aise).

Car si le stress vous pénalise, vous tétanise, le trac lui peut vous pousser à vous dépasser, notamment lors de vos prises de parole en public.

Ainsi, l’hormone du stress, le cortisol, modèrerait l’influence de la testostérone, qui développe un comportement compétitif : plus difficile alors, de monter les échelons face à des collègues qui sont, eux, en pleine compétition.

Le stress est donc propre à chacun, en fonction des situations rencontrées et cela pose la question de comment réussir à le diminuer ?

- Réfléchir aux missions particulièrement stressantes pour vous. Analyser la raison réelle de ce stress liée à cette mission et se demander comment le diminuer. Tenter de se poser les bonnes questions, à froid : qu’est ce qui m’empêche d’agir et/ou de performer ? Si j’agis, que peut-il se passer de « pire » ? En agissant, que puis-je obtenir ?

- Apprendre à dire non, et plus généralement, dire ce que nous pensons. C’est directement lié à l’estime, la confiance et l’affirmation de soi. Et la confiance, cela se travaille. Personne n’aime dire non mais si nous disons oui sans cesse, cela génère des missions supplémentaires, une baisse de l’estime de soi, et donc du stress.

-Être capable de couper après une journée de travail. Avoir des activités de loisirs, prendre un verre avec des amis, voir un film, etc. Le stress provient souvent d’une incapacité à prendre soin de soi et à se faire plaisir.

Un grand leader comme Steve Jobs méditait régulièrement. Chacun possède ses sources de stress et chacun peut avoir ses propres méthodes pour les diminuer. Nous devons les chercher en se demandant « qu’est ce qui pourrait me permettre d’agir tout en me sentant mieux ? »

Pour gravir les échelons au sein de votre entreprise, pensez donc à prendre du recul, et à relativiser certaines situations qui n’auront ainsi pas d’impact négatif sur votre futur.

Bonne lecture !

Alexandre LACAZE et toute l’équipe MANEGERE

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prévention des risques psychosociaux au travail

Un article recommandé par MANEGERE : RPS : la prévention tertiaire est la plus utilisée, c’est pourtant la moins efficace dans la durée…


Cet article nous résume les 3 niveaux de prévention des risques psychosociaux au travail, à savoir :

La prévention primaire qui vise à examiner les facteurs de risques au niveau collectif en vue d’anticiper les problèmes et de promouvoir un climat de travail plus favorable.

La prévention secondaire orientée plus vers l’individu afin de l’aider à identifier ses propres ressources qui peuvent s’accompagner de formations, sensibilisations et plans d’actions.

Et enfin, la prévention tertiaire ou plutôt réparation. Dans ce cas, l’individu est réellement en souffrance et manifeste des signaux de souffrance et de stress au travail.

Bien évidemment, lorsque l’on intervient au troisième niveau, il est presque trop tard !

En effet, à ce niveau, une meilleure qualité de vie au travail est inaccessible pour l’individu. C’est ce que nous montre cet article.

Bonne lecture !

Aurélie GRAZIOSO et toute l'équipe MANEGERE

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Koko, réseau social du bien-être au travail

koko reseau social manegere

Un article recommandé par MANEGERE : Le crowdsourcing appliqué au bien-être au travail


Nous avons décidé aujourd’hui de vous faire partager un article sur le bien-être au travail et, un nouvel outil visant à diminuer l’anxiété des collaborateurs.

A l’ère de la toute puissance d’internet, l’auteur de l’article nous parle d’un nouveau concept et de la création de « Koko », un réseau social d’un genre… original.

Ici, rien à vendre, pas de photos des vacances ou du petit ami à partager, mais des moments de stress, d’anxiété et de tristesse au travail.

Car il n’est pas forcément simple de trouver une oreille attentive à nos soucis au travail : peur d’être jugé, oreille inattentive ou même malveillante de notre interlocuteur, angoisse des répercussions…

Sur « Koko », le partage se fait de façon anonyme, et bienveillante. L’objectif est donc double : permettre aux collaborateurs de « vider leur sac », au lieu de garder en eux un stress, une rancœur qui les minerait à terme.

Mais aussi leur apporter, au minimum, soutien, au mieux, conseils.

Au-delà du bénéfice pour les employés, le bien-être au travail est un enjeu capital pour les entreprises qui, sans collaborateurs épanouis, tendent à tourner au ralenti.

Bonne lecture !

Alexandre LACAZE et toute l’équipe MANEGERE

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Le Stress au travail

Les nombreux indicateurs disponibles sur le climat social et la qualité de vie au travail montrent une dégradation continue des conditions de travail de tous les collaborateurs. Et pourtant, 89% des salariés disent se sentir bien dans leur espace de travail (source Cegos)

Les études mettent en avant les éléments manquants sur lesquels se positionnent les salariés pour expliquer ce stress :

Aussi surprenant que cela paraisse, les grands classiques du stress liés au travail n'apparaissent pas spontanément : pression des objectifs, manque d'effectifs et/ou de moyens...; et ce n'est finalement pas si étonnant ou même pas si anachronique que cela. Les collaborateurs sont conscients de l'importance vitale pour l'entreprise que représentent les objectifs, l'optimisation des coûts... etc. La gestion du stress ne consiste finalement pas à supprimer les éléments déclencheurs de stress, mais à prévenir le stress, à le contenir et aider à le gérer.

En réalité, ces besoins que les salariés expriment sont liés au management.

Les manquements exprimés par les collaborateurs semblent pourtant simples, et faciles à mettre en œuvre.

Mais qu'en est-il au juste? Est-ce si facile?

On le sait, le manager a 3 principaux rôles qui sont

Au delà de ces rôles, nous sommes convaincus que l'excellence en management repose sur l'équation E = MC3. L'excellence est le produit de la motivation, des compétences, de la communication, le tout en totale cohérence (notion d’alignement). Si l'une des composantes est nulle, le résultat est alors nul et l’Excellence n’a aucune chance d’être au rendez-vous.

Le management doit donc prendre en compte, à minima, 3 points essentiels.

1er point fondamental : la valorisation

Ainsi, les salariés demandent de la reconnaissance et des félicitations. Valoriser donc, pour reconnaître la production, le travail, l'effort fourni, la tentative même de mener une action, le prime essai (surtout en cas de non réussite), mais aussi pour compenser l'énergie dépensée. Trop souvent, le manager oublie le point fondamental qui consiste à faire prendre conscience des compétences mise en œuvre pour l'action en faisant ra conter par le collaborateur les éléments mis en œuvre et lui donner ainsi un retour positif sur ce qu’il a accompli. Dans ce cas, "Racontes moi, comment tu t’y es pris ! " prime sur "quel résultat as-tu obtenu ?". La valorisation se fait donc en 2 temps, féliciter, puis valoriser au travers des compétences.

2nd point fondamental : le temps que le manager dédie à son équipe

Travailler en individuel sur les besoins de chaque individu au sein d'une équipe pour favoriser la montée en compétences, la vision et la compréhension de l'objectif...

Bien sur, tout manager est convaincu de dédier du temps à ses collaborateurs. Mais il y a différentes façons de dédier du temps :

- par exemple: le manager qui répond à une sollicitation de la part d'un des ses collaborateurs

"Bien sûr, nous pouvons échanger quelques instants ". Ces 2 mots: ("quelques instants") ont un effet sur la perception du collaborateur par rapport à la disponibilité de son manager: en quelques instants = pas de temps à me consacrer!

ou bien encore :

"J'ai une réunion d'ici peu, mais j'ai 2 minutes"

Le comportement, la communication verbale (les mots), vocale (l'intonation) et visuelle (la gestuelle) du manager encouragent ou non le salarié à exprimer les vrais motifs de la sollicitation. Et tous les salariés ont ce besoin de parler de leur travail, de leurs besoins professionnels avec leur manager.

3ème point fondamental : organiser des points réguliers avec l'équipe.

Autrement dit, travailler en collectif sur les compétences, comprendre que la réussite est collective et que chacun a sa contribution dans l'action. Les compétences de chaque personne sont complémentaires avec celles des autres.

Finalement, quel est lien avec le stress? Comment gérer le stress? Y a t-il différentes formes de stress?

Comme nous l'avons dit plus haut, il n'est pas question de chercher à supprimer les éléments déclencheurs de stress, mais bien d'aider à gérer le stress.

Le stress est défini comme une réponse non spécifique de l'organisme face à un stimulus. Il s'exprime par des symptômes physiques, psychiques, comportementaux, sociaux.

3 étapes pour gérer et même prévenir le stress

1) Comprendre ce qu'est le stress, savoir comment il s'exprime, savoir identifier le bon stress du mauvais stress

Une même situation ne provoque pas le même niveau de stress ni les mêmes symptômes en fonction de l’individu. Plus encore, un même individu ne réagit pas de la même façon face un stimulis qui se répète. Par exemple, un retard dû à une difficulté de circulation peut générer un stress faible ou élevé en fonction des obligations de la journée. Il est donc nécessaire d'identifier les événements de la vie (personnels, professionnels, relationnels) qui engendrent du stress. Par exemple, le divorce, un accident ou une maladie personnelle; un événement heureux peut également générer du stress comme le mariage par exemple.

2) Identifier les éléments générateurs de stress inutile, pour pouvoir les supprimer

La surcharge acceptée par crainte de dire "NON", les tracas des "autres" pris en charge. Savoir également aider ou se faire aider (management) pour différencier les freins (éléments qui m’empêchent d’atteindre mes objectifs et sur lesquels je peux agir) et les contraintes (éléments qui m’empêchent d’atteindre mes objectifs et sur lesquels je n’ai aucune action possible) afin d'agir surtout sur les freins et ne pas consacrer d’énergie ou de temps à vouloir supprimer les contraintes. Lutter contre les illusions négatives en les remplaçant par des pensées positives. Exemple du salarié qui n'a pas ou peu d'échanges avec son manager et qui en déduit que son travail est inutile, que son poste n'est pas important. De fait, le collaborateur visualise que c’est lui qui n’est pas important et pas tant le poste. Il est remis en cause en tant qu'individu!

3) S'approprier des pratiques afin de prévenir et de se sentir serein face à son stress

Ainsi, les salariés sereins ont des pratiques comme vivre au présent, (à chaque jour suffit sa peine!), réaliser des exercices de respiration. Ils ne se soucient pas des contraintes, mais cherchent à agir sur leurs freins, ils relativisent et considèrent chaque échec comme une opportunité pédagogique. ils sont organisés et gèrent leur temps selon les priorités de leur fonction.

 

En conclusion, on ne peut que rappeler le rôle fondamental du management en matière de gestion du stress soit le manager est source de stress soit il est un paravent contre le stress !

Et vous, où vous situez-vous ?

Patrice MANGEOT et toute l'équipe MANEGERE

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Surmenage

Téléphone en voiture, mails dans le métro, rapports dans le train....

10 minutes pour la cuisson des pâtes ?

Parfait, le temps nécessaire pour finaliser le PowerPoint de la réunion de demain !

Le vieil adage « chaque chose en son temps » est maintenant bien loin ! (suite…)

Epuisement des salariés

Entre 4% et 5% du PIB… C’est le coût du stress pour notre société : cela correspond au déficit public français en 2013 !

Outre les pathologies psychiques et somatiques, le stress entraine aussi des troubles de l’humeur, du comportement. Il est en partie responsable de l’absentéisme, ainsi que des difficultés de la mémorisation et de la concentration… autant de symptômes qui empêchent directement vos équipes de performer.

Les effets néfastes du stress sur la santé des collaborateurs et de l’organisation ne sont plus à démontrer… Et si veiller au stress permettait de faire un pas vers le bien-être pour performer ensemble ? En voici 3 bonnes raisons.

Permettez le flow !

(suite…)

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