Crédit photo : Pexels
Bonjour à tous ! Nous avons décidé cette semaine de partager un article sur un concept encore méconnu en France, le job sharing, le travail partagé pour les moins bilingues d’entre vous.
Un poste avec 2 salariés à temps partiel qui se le partagent. Le but : concilier ainsi vie privée et vie professionnelle. Là où le job sharing se développe, le constat est souvent le même au sein des entreprises : moins de stress au travail, oublié les burn-out avec des salariés plus productifs.
Il existe 2 types de travail partagé : soit les 2 collaborateurs ont les mêmes compétences et se relaient sur le poste, soit ils ont des compétences différentes et se complètent.
Si l’idée est plus que séduisante sur le papier, il convient d’être prudent avec ce concept. Tout d’abord, sur la complémentarité des 2 collaborateurs, aussi bien sur le plan professionnel qu’humain.
Ensuite, être attentif sur le travail produit par les 2 salariés. Ils se partagent un poste, et donc la charge de travail. Même si l’entente et la communication sont bonnes au début, que se passe-t-il si l’un des deux collaborateurs travaille, ou a le sentiment de travailler bien plus que l’autre ?
Enfin, si tout se passe bien, l’employeur n’est jamais à l’abri que l’un des 2 salariés désire quitter l’entreprise. Et dans ce cas, retrouver le parfait complément de celui qui reste ne sera pas toujours chose aisée.
Bonne lecture à tous.
Rejoignez Alexandre sur :
[udesign_icon_font name="fa fa-linkedin" color="#0195c9" size="3em"]
Thème : « Améliorer les performances de vos collaborateurs ».
Dans un contexte économique sans cesse changeant et dans lequel l’agilité devient une nécessité pour les entreprises, comment améliorer les performances de vos ressources humaines et ainsi faciliter l’atteinte des objectifs collectifs et individuels.
En association avec notre partenaire Groupe HUMAN MOBILITY, nous avons animé cet atelier devant une vingtaine d’invités, directeurs généraux et responsables des Ressources Humaines locaux.
Excellente lecture et « à vos commentaires » !
Rejoignez Stéphane sur :
Quand tout va bien, assister ses collègues est un geste naturel. Mais dès que l'activité baisse et que l'ambiance se détériore, les gens se replient sur eux. Exit les coups de pouce, les renvois d'ascenseur, c'est chacun pour soi. La solidarité est rarement spontanée. Or c'est bien le rôle du manager d'instaurer un esprit de coopération véritable et durable dans l'équipe. Pour y parvenir, il a intérêt à s'appuyer sur les aidants et à se focaliser sur les égocentrés peu prompts à seconder leur prochain. Voici un processus en cinq étapes qui a fait ses preuves. (suite…)